L'histoire presque vraie des Yakuzas :
Un univers. Lointain du notre. Une planète, où l'être humain n'a jamais existé, une planète où les habitants sont des voitures de course en tous genres et qui s'affrontent sans cesse dans des stades ou une multitude de circuits se construisent et se démontent tous seuls et sans arrêts entre chaque course. Cette planète s'appelle Nadeo et l'histoire qui vous est comptée se passe dans le stade Miston Track. Des centaines de véhicules s'affrontent à longueur de journée, et justement, cette journée allait marquer à jamais le monde automobile.
« Allé relève-toi, tuuuuuut vroummm, criait une foule dans un brouhaha incessant.
Il alluma un phare. Puis l'autre. Il ne savait plus où il était mais malgré ces optiques cassées, il voyait une fumée épaisse l'entourer. De la poussière plein la calandre, il ne pouvait plus bouger. Avec une roue complètement crevée, il pataugeait dans une marre de « Super ». Tout le monde dans le stadium retenait son souffle en essayant d'épier le moindre mouvement a travers la fumée. Tout à coup, un moteur se fit entendre : il n'était pas mort malgré son accident. Il était méconnaissable, plein de poussière, sa carrosserie en lambeau et un phare à moitié ouvert.
Végéta était toujours robuste et fier, il ne comptait pas abandonner comme cela. Surtout que l'accident était dû à un sabotage de ses co-équipiers de l’équipe DBZ. Ils voulaient tous créer une équipe leur appartenant mais n'osaient pas le faire par manque de courage, alors ils pensaient qu’en éliminant Végéta, l’équipe DBZ mettrait la clé 12 sous la porte. Mais cela avait échoué et il était le seul à traîner sa vielle carcasse pour rallier la ligne d'arrivée mais c'était impossible : le temps s'écoulait et un tour l'attendait encore.
Il entendait pourtant des voitures passer à ses côtés : sûrement ses collègues vu qu'ils klaxonnaient tous et lui riaient au nez. Mais aucun ne demanda de ses nouvelles mis a part une nouvelle recrue de cette team, une voiture flambant neuve encore en rodage avec seulement 56 k"m" au compteur. C'était Djodjo, énervé du comportement de ses collègues, il avait quitté les stands pour aller à son secours. Arrivant sur les lieux à une vitesse folle et n'étant pas habitué aux matchs, il prit sont courage à deux roues et il percuta un mur et finit sa chute en glissade vers Végéta, Djodjo lui lança sa ceinture de sécurité autour du cadran et ce mis à tracter la voiture de son chef. En vain, ses roues marquaient l'asphalte. Djodjo partait en burn jusqu'à explosion des pneus mais ils n'ont réussis qu'à passer un seul Checkpoint sur les deux restants avant d'arriver. Mais Djodjo continuait à tirer Végéta. Il roulait sur ses gentes, les étincelles éclairaient la fumée qui se dégageait des roues. Il était au rupteur lorsqu’un autre son de rupteur se fit entendre.
Il était là, à rire dans son ventilo, le vil, l'innommable, le traître qui avait saboté la voiture de son propre Boss. Il montra le bout de son aileron au dessus d'une pente : il s'agissait de Amara. Il avait perdu la tête, vexé que son plan était tombé au liquide de refroidissement. Il était en sueur, enragé, comme possédé, il montrait à tout le monde le fond de sa pensée : il voulait les tuer les deux, quitte à se suicider lui-même. Djodjo et Végéta sont en bas de cette pente, arrêtés, attendant l'inévitable. Amara fit rugir son moteur et se lança contre les deux pilotes, impuissants, en dévalant cette pente. Il hurlait :
« Couille d'ours, c'est ton dernier burn ! »
Et c'est là qu’elle arriva. La dernière recrue de la team, elle sortait de derrière du stade, Mary, elle était une voiture qui fonctionnait à la bière et au cake Jambon olive, elle canarda Amara avec les noyaux d'olives, comme une sulfateuse et envoya Amara dans le décor ! Et ainsi Djodjo et Mary traînèrent la carcasse de végéta jusqu’à la ligne d'arrivée.
Quelque jours plus tard et après être sorti du garage, Végéta alla voir ces deux compères, Djodjo et Mary : il avait été touché par autant de dévouement alors qu'ils n’étaient que de jeunes recrues. Et c'est à ce moment là qu'il comprit que le succès d'une équipe ne résidait pas dans le simple chrono mais dans l'esprit d'équipe, qui en réalité était le même comportement qu'une famille. C'est à ce moment là qu'il décida d’arrêter son équipe DBZ et de créer la team Yakuza qui était une civilisation d'une autre planète où l'honneur et le respect, et surtout l'entraide, était la seule devise. Mais il savait que, sous ce nom, toutes les voitures au cœur pur viendraient les rejoindre dans cette aventure ...
To be continued …
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Lun 21 Oct - 8:21 par 
Sujet: Texte de Onizuka : Vive les Cakes. 
